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vendredi, 13 juin 2025 11:12

Infos en bref du CSEC, session de travail - Juin 2025 Spécial

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Session du CSEC de Juin 2025

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SOMMAIRE

  • COMMISSION ECONOMIQUE

PROJET ÉDITIQUE : RATIONALISATION DÉGUISÉE OU VRAIE AMELIORATION ?. 2

TOP PERFORMERS : LA RECONNAISSANCE FINANCIÈRE DISCRÉTIONNAIRE ET A DURÉE LIMITÉE. 2

MAP ET OBJECTIF ANNUELS AU QUADRIMESTRE. 3

DRESS CODE ? AU VESTIAIRE ! 3

SIGNATURE ELECTRONIQUE MARCHÉ ENTREPRISE INDISPONIBLE. 3

FRONTALISATION EN TEST : LES GRC VERS ENCORE PLUS DE SURCHARGE. 4

TRANSFERT D'ACTIVITÉS DES CAUTIONS PRI VERS LES CDS FPE PRO.. 4

DÉPLACEMENTS PRO, FRAIS PERSO : NOS VÉHICULES PERSONNELS NE SONT PAS DES VÉHICULES DE SERVICE. 4

DÉLAI DE REMBOURSEMENT CRÉDIT LOGEMENT. 5

ENTRÉE EN RELATION À DISTANCE : FAUT-IL QUE LES SALARIÉS CHANGENT DE NOM POUR PRODUIRE PLUS ?. 5

EER PROSPECTS CASH SERVICES. 5

OPÉRATION CONNEXION.. 6

 

  • COMMISSION EPQS

RÉSEAU : MISE EN PLACE DU VARIABLE OBJECTIVÉ. 6

NOTE EMILE NOEBES : SALARIÉS EN DIFFICULTÉ FINANCIERE. 6

CODE SG, MODIFICATION DES RÈGLES D’ENVOI D’INFORMATIONS PROFESSIONNELLES EN EXTERNE. 7

SERVICE SOCIAL DU TRAVAIL SG : POINT D'ÉTAPE. 8

  • COMMISSION SSCT

POINT D’INFORMATION SUR LES COMPORTEMENTS INAPPROPRIÉS  2024. 9

  • COMMISSIONS VACANCES

1%.. 9

  • COMMISSION VACANCES FAMILLES

BUDGET VACANCES FAMILLES. 9

STATISTIQUES ÉTÉ. 10

PROCHAINES NOUVEAUTÉS. 10

NON RENOUVELLEMENT POTENTIEL DE CENTRES POUR L’ÉTÉ 26. 10

TOURISME SOCIAL. 10

TRANSPORTS CORSE. 10

 

  • COMMISSION VACANCES ENFANTS

COLONIES ÉTÉ 2025. 10

COLONIES HIVER PRINTEMPS 2026. 10

 

 

 

PROJET ÉDITIQUE : RATIONALISATION DÉGUISÉE OU VRAIE AMÉLIORATION ?

Commission Economique

La Direction, par la voix de Christine TILLIEZ (DRH/DOP) et Gilles HUBSCHWERLIN (DOP/FPE), est venue présenter le projet de transfert de l’activité éditique PRO, aujourd’hui assurée par 15 personnes chez SOGEPRO, vers les CDS spécialisés dans les crédits professionnels. À l’horizon 2026, cinq CDS (Montpellier, Rennes, Stade de France, Strasbourg et Lille) auront en charge l’édition de l’ensemble des contrats PRO, soit une activité estimée à 20 000 contrats annuels, dont 3 000 avec garanties complexes et 3 000 dits « tiers ».

Sous couvert d’une recherche de fluidité, de lisibilité du processus pour les équipes commerciales et d’un lien renforcé entre front et back, la Direction engage une transformation majeure de l’organisation de cette activité. Ce projet, structuré en trois grandes vagues s’étalant sur toute l’année 2026, s’accompagnerait de la création de 18 postes budgétaires de chargés de financement répartis entre les différents CDS concernés. Si ces créations peuvent, de prime abord, sembler positives, la CGT reste extrêmement vigilante sur plusieurs points.

Tout d’abord, l’ambition affichée de proximité et de réactivité ne peut pas masquer l’insuffisance des moyens mis en face de la charge réelle. Chez SOGEPRO, les collaborateurs étaient entièrement dédiés à cette activité, tandis que dans les CDS, les chargés de financement cumulent déjà plusieurs missions (prise de garanties, gestion des crédits, événements sur prêts, cautions…). Autrement dit, l’éditique viendra s’ajouter à des tâches existantes. Sans redimensionnement clair des effectifs, le risque est grand de voir les conditions de travail se dégrader, voire la qualité du service rendu s’affaiblir.

À ce jour, la Direction n’a pas encore été en mesure de fournir une ventilation précise de l’activité par région. Cette donnée est pourtant essentielle pour évaluer l’adéquation entre la charge prévisionnelle et les effectifs projetés. La CGT a demandé cette répartition afin d’objectiver la pertinence des créations de postes annoncées. Nous attendons un retour chiffré et transparent.

Par ailleurs, des zones d’ombre subsistent sur les outils qui seront utilisés dans les CDS. La Direction évoque GARANCE comme solution probable, sans trancher. Une incertitude technique à ce stade du projet est pour le moins inquiétante. Il est impératif que les équipes soient dotées d’outils adaptés, performants, et que les formations soient anticipées, complètes et accompagnées dans la durée.

Enfin, la CGT s’interroge sur le sort des salariés actuellement en poste chez SOGEPRO. Des promesses ont été formulées concernant leur accompagnement, mais les garanties concrètes font encore défaut. La vigilance s’impose pour qu’aucun salarié ne soit laissé sur le bord du chemin.

Ce projet, bien qu’il affiche une dynamique de réorganisation « gagnant-gagnant » sur le papier, ne saurait se faire au détriment des conditions de travail, ni masquer une logique de rationalisation qui ne dit pas son nom. La CGT continuera de porter une exigence de clarté, de moyens à la hauteur des ambitions, et de respect des droits des salariés concernés, actuels comme futurs.

TOP PERFORMERS : LA RECONNAISSANCE FINANCIÈRE DISCRÉTIONNAIRE ET A DURÉE LIMITÉE

Commission Economique

La CGT a interpellé la direction afin d’obtenir des éclaircissements sur les critères d’attribution des primes dites « top performeurs ». En réponse, la Direction nous informe avoir débloqué des enveloppes de primes exceptionnelles, sous prétexte de vouloir « encourager » et « récompenser » le bon démarrage de l’année commerciale.

Cette prime, nous dit-on, pourrait être versée de manière collective ou individuelle. Mais très vite, la Direction minimise la portée de ce dispositif : elle botte en touche, renvoyant la responsabilité aux régions, affirmant que cette prime restera discrétionnaire, non pérenne et sans garantie d’équité.

Et pendant ce temps, rien pour les autres salariés de SGRF hors agences, qui ont eux aussi, contribué de manière significative au redémarrage de l’activité. Quelle reconnaissance pour ces équipes invisibilisées ?

Nous dénonçons l'opacité totale autour de ces modalités d’attribution. Ce manque de transparence rend toute lisibilité impossible, et surtout, vide de sens toute notion d'équité et de reconnaissance collective du travail accompli.

Nous demandons que des critères clairs, objectifs et équitables soient définis et communiqués, pour que chaque salarié soit justement reconnu à la hauteur de son engagement.

MAP ET OBJECTIF ANNUELS AU QUADRIMESTRE

Commission Economique

La CGT est une nouvelle fois revenue sur les objectifs annuels du MAP qui ne sont pas encore clairement lisibles pour les équipes.

La Direction nous indique qu’en effet les objectifs annuels auraient déjà dû être visibles sur le MAP malheureusement un problème technique a empêché l’implémentation de la donnée dans les MAP.

Nous avons ajouté que ce manque de lisibilité sur l’avancée de la réalisation de la production sur l’année pouvait engendrer une démotivation.

La direction s’engage à passer les messages pour que l’information soit communiquée aux équipes pour plus de transparence et de lisibilité en attendant que l’outil permette cette lecture.

DRESS CODE ? AU VESTIAIRE !

Commission Economique

Suite à l’apparition sur ATLAS puis sur CANAL ANI d’une note sur les “Règles d’or de l’accueil physique en agence” et surtout les “repères” sur les tenues vestimentaires professionnelles avaient suscité pas mal de remous, la commission avait demandé de mettre ce point à l’ordre du jour.

La direction avait eu le temps de peaufiner ses éléments de langage, et c’est Nicolas ISIDORE (directeur des relations sociales SGRF) qui nous en a fait l’exposé, avec une conviction manifestement vacillante.

Le but est :

- d’améliorer la satisfaction client

- donner un outil pour les managers en difficultés pour gérer ce sujet de la tenue vestimentaire professionnelle.

Nicolas ISIDORE, spécialiste des argumentations audacieuses, nous a déployé une promotion de l’inclusion particulièrement inattendue : il y a un risque d’exclusion avec des choix vestimentaires discutables et en informer le collaborateur c’est pour son bien.

Il a bien souligné qu’il n’y avait “pas de volonté de contraindre”.

Le contraire n’est de toute façon pas autorisé par le Code du Travail et l’abondance des jugements en défaveur des employeurs qui s’y sont essayés ne fait que le confirmer.

S’il peut y avoir ponctuellement un sujet vestimentaire, la direction s’y prend très maladroitement, sans avoir pensé aux effets indésirables :

  • Surexposition en réunions d’équipes, ce qui peut rendre mal à l’aise les managers
  • Risques d’excès de zèle, dont nous avons fourni quelques exemples croustillants
  • Rejet et incompréhension de la méthode jugée infantilisante et coercitive.

Le règlement intérieur est clair et c’est lui, et lui seul, qui fait foi : les collaborateurs doivent avoir une tenue correcte dans le contexte de relation avec la clientèle. Lui reprocher des problèmes d’interprétation et produire un document avec des pictogrammes qui en provoque encore davantage, c’est cumuler procès d’intention et vision simpliste voire caricaturale de ce qu’est la tenue vestimentaire adaptée au travail.

Bref, après 1 h 30 de palabres peu productives, nous avons demandé que les pictogrammes soient retirés.

Nicolas ISIDORE a conclu “vous m’avez presque convaincu”.

Olivier PREVOTEAU, soucieux que tout ce remue-ménage ne perturbe pas la dynamique commerciale à maintenir à tout prix, a enfoncé le clou, en promettant un retour rapide.

Suite à la réunion, le document litigieux a été retiré d’Atlas, et nous souhaitons que ce retrait soit définitif.

Nous demandons que le sujet de la tenue vestimentaire, qui peut ne pas convenir, soit géré au cas par cas au titre d’une situation managériale individuelle.

Quant aux autres aspects de la satisfaction client, bien plus impactants, nous attendons que la direction les adresse avec plus de finesse et d’efficacité.

SIGNATURE ÉLECTRONIQUE MARCHÉ ENTREPRISE INDISPONIBLE

Commission Economique

La Commission a indiqué à la Direction que la signature électronique sur le marché Entreprises n’est plus disponible depuis une récente mise à jour de l’outil CONTACT. En effet sur certains dossiers de prêt les bénéficiaires effectifs n’étant pas remontés automatiquement comme par le passé, cela bloque la signature électronique tant appréciée par nos clients et qui optimisent grandement l’efficacité des acteurs du marché de l’entreprise.

La Direction prend le point pour informer les acteurs qui seraient en mesure de rétablir la situation et résoudre le dysfonctionnement.

FRONTALISATION EN TEST : LES GRC VERS ENCORE PLUS DE SURCHARGE

Commission Economique

La Commission a demandé à avoir plus d’informations sur le test de frontalisation de certaines tâches qui seront prises en charge par les GRC.

La Direction nous indique que la liste définie des tâches doit être précisée dans tous les CSEE en Région et que le pilote est lancé à partir du mois de Juin sur les entités choisies. En tête de liste sont concernés les tâches d’ouverture de comptes secondaires, les saisies dans IACOR pour les crédits court terme et encore d’autres.

Cette frontalisation se fait à iso effectif car selon les remontées faites à la Direction, le même temps est nécessaire pour créer la tâche Harmonie que pour faire l’ouverture du compte secondaire d’un client. La CGT a fortement réagi sur ce point en faisant remarquer à la Direction que le métier de GRC a déjà eu beaucoup de tâches ajoutées à sa fiche de poste ces derniers mois suite à une précédente frontalisation. Par ailleurs la Direction a du mal à recruter des GRC : c'est un métier en souffrance avec une matrice des compétences de plus en plus étendue. 

Si le test devait se généraliser, la CGT demande que la classification des GRC soit revue et que le niveau minimal soit le statut cadre aux vues des responsabilités et de l’enjeu stratégique de ce poste pour le marché de l’entreprise et pour valoriser leur polyvalence. Par ailleurs les GRC souhaiteraient avoir des outils à leur disposition qui soient plus performants pour améliorer leur efficacité.

La Direction clôt le débat en nous indiquant que si ce test et ce pilote n’a pas de sens et se trouve être contre-productif, il y aura un retour en arrière et cette frontalisation ne sera pas déployée.

TRANSFERT D'ACTIVITÉS DES CAUTIONS PRI VERS LES CDS FPE PRO

Commission Economique

La Direction dans la continuité du plan de simplification des process et le fait de redonner du temps commercial au Front nous informe du transfert de l’activité caution des particuliers vers FPE PRO.

La Direction a constaté une extinction progressive de certaines cautions sur le marché des particuliers telles que les cautions loyers, cautions fiscales et location droits de chasse …

La volumétrie pour les émissions de garanties représente, pour l’année 2024, 837 opérations d’émissions et environ 2000 demandes de mainlevées montrant une diminution de la demande.

Le choix est fait par la Direction de ne plus proposer de « garantie loyers » à partir d’avril 2026. Cette activité a représenté 39% des cautions soit 119 émissions de garanties en 2024.

DÉPLACEMENTS PRO, FRAIS PERSO : NOS VEHICULES PERSONNELS NE SONT PAS DES VÉHICULES DE SERVICE

Commission Economique

Il n’a échappé à personne que dans les DCR & CAR, le parc de véhicules de service fond comme neige au soleil. De plus en plus de collègues se voient contraints, et forcés, d’utiliser leur véhicule personnel pour assurer leurs missions professionnelles.

Cette situation a des conséquences concrètes, notamment pour nos collègues experts ou commerciaux en agence, qui doivent se déplacer dans plusieurs agences de l’UC ou du groupe pour leurs rendez-vous. Non seulement ils utilisent leur voiture personnelle, mais ils doivent aussi payer de leur poche le stationnement.

En effet, la Direction ne rembourse que les indemnités kilométriques, en ignorant trop souvent les frais de stationnement. Cette situation est inacceptable.

Nos collègues doivent se rendre dans des agences situées en centre-ville, où il est impossible de stationner gratuitement. Ils n’ont bien souvent aucun autre choix que d’utiliser des parkings payants.

Il est déjà anormal que les salariés doivent utiliser leur véhicule personnel pour pallier la réduction drastique des moyens mis à disposition par la SG. Il est encore plus scandaleux qu’ils soient pénalisés financièrement pour pouvoir exercer correctement leur métier.

La CGT exige la prise en charge intégrale des frais de stationnement engagés lors des déplacements professionnels avec un véhicule personnel.

Sur ce point la Direction dit comprendre la problématique et va voir comment elle peut la solutionner.

DÉLAI DE REMBOURSEMENT CRÉDIT LOGEMENT

Commission Economique

Vite encaissé, lentement restitué… patience requise !

Une grande majorité des prêts immobiliers contractés à la SG sont garantis via Crédit Logement, dont l’accord est obtenu très rapidement, souvent en temps réel. En revanche, la CGT a fait remonter à la Direction que la part restituable à la fin du prêt mettait un temps considérable à être remboursée à nos clients générant alors une insatisfaction facile à éviter.

Nous ne savons pas si le dysfonctionnement qui impacte le délai annoncé d’environ 4 semaines, repoussé jusqu’à plusieurs mois d’attente, viendrait du côté SG ou bien du côté Crédit Logement.

Résultat : insatisfaction client, image ternie… et pression sur les conseillers une fois de plus en première ligne pour justifier un dysfonctionnement qu’ils ne maîtrisent pas.

Pour être en adéquation avec ses ambitions d’améliorer la satisfaction clients la Direction va prendre contact avec les différents acteurs qui interviennent sur ce sujet et nous fera un retour sur la solution qui sera apportée à cette problématique. 

ENTRÉE EN RELATION À DISTANCE : FAUT-IL QUE LES SALARIES CHANGENT DE NOM POUR PRODUIRE PLUS ?

Commission Economique

La CGT a alerté la Direction sur le fait que, lors d’une entrée en relation à distance, la production était attribuée à un salarié au hasard. Dans un cadre où la SG met un point d’honneur à augmenter la productivité de tous, les salariés du Front sont donc confrontés à une situation injuste et préjudiciable. En effet, à ce jour, un même conseiller peut se voir attribuer la majorité des ouvertures de comptes à distance alors que son collègue, lui, ne reçoit rien puisque la liste des conseillers proposée aux prospects est classée par ordre alphabétique. C'est ainsi que systématiquement le premier de la liste capte la quasi-totalité des flux.

Ce déséquilibre peut être aggravé dans les grandes agglomérations où plusieurs agences sont situées dans la même rue. Là encore, le prospect choisit naturellement l'agence placée en haut de la liste, souvent sans distinction réelle, ce qui renforce l’iniquité.

Ce système génère un traitement inéquitable entre les conseillers, notamment ceux dont le nom commence en fin d’alphabet, qui se voient privés de flux entrants et pénalisés dans l’atteinte de leurs objectifs.
La CGT exige que ce dysfonctionnement soit corrigé le plus rapidement possible. Il est inadmissible que l’attribution de la production repose sur un critère aussi arbitraire que l’ordre alphabétique.

Nous demandons une révision de ce mode de répartition.

La Direction prend le point et va nous revenir.

 

EER PROSPECTS CASH SERVICES

Commission Economique

Concernant Cash Services une question était restée en suspens s’agissant de l’attitude à adopter lorsqu’un prospect utilisateur de l’automate Cash-Services demande une ouverture de compte. La Direction nous confirme que le projet permet de mutualiser les automates afin d’assurer un service de qualité pour l’ensemble du groupement. Il a été acté avec l’ensemble des acteurs qu’aucune démarche proactive ne pouvait être faite sur le fait de capter les prospects utilisateurs de Cash Services. Si un client devait demander de sa propre initiative une ouverture de compte cela est tout à fait possible. Si l’entrée en relation se concrétise il faut alors suivre le process et faire remonter l’information à la personne en charge de centraliser les ouvertures de comptes liées à Cash services afin qu’il y ait une traçabilité.

Avec l’ambition SG de faire partie du top 3 des banques de référence en France, la question de l’évolution du service proposé par SG sur les automates Cash services a été posée et plus particulièrement sur les dépannages espèces pour nos clients qui pourraient être gérés plus simplement et rapidement à distance via un code secret (SRE) comme le font déjà certains confrères sur ce type d’automate Cash services. Cependant après que la Direction se soit concertée avec les services et les parties prenantes il n’est pas prévu d’évolution ou de mise en place d’un service SRE.

OPÉRATION CONNEXION

Commission Economique

La Direction nous a fait un retour sur l’opération ConneXion qui consistait à faire une campagne d’appels à la clientèle par le CODIR de chaque région avec pour objectif d’interroger 5050 clients entre le 18/12/2024 et le 08/02/2025 afin de mesurer de façon qualitative la satisfaction des clients par marché.

Au final 4528 clients auront été contactés.

Le NPS (Net Promoteur Score) est supérieur aux baromètres de satisfaction.

L’analyse des résultats fait ressortir qu’il y a une consolidation de la satisfaction client sur tous les marchés.

  • 39% de promoteurs (notes 9 et 10)
  • 43% de passifs (notes 7et 8)
  • 18% de détracteurs (notes 1 à 6)

En comparaison avec les 26%/32%/42% du baromètre concurrentiel.

Une variation homogène est constatée selon les segments clients (taux de promoteurs entre 34% pour le marché Pro et 44% sur le marché Ent ; pour le marché Part : 38% pour les Essentiels et 41% pour la clientèle Patrimoniale).

Raisons de recommandation (Promoteurs) :

  • 42% Banque réactive, joignable et disponible
  • 25% Banque d’expertise et conseil
  • 12% Banque de proximité

Raisons de non-recommandation (détracteurs) :

  • 30% Banque d’expertise et conseil
  • 21% Banque réactive, joignable et disponible
  • 15% Ressenti de la fusion
  • 13% Banque de proximité
  • 9% Frais  

Un plan d’action sera mis en place en régions, en fonction du retour anonymisé des entretiens pouvant faire apparaitre des écarts par rapport au retour consolidé de SGRF en faisant état des forces et faiblesses ainsi que des opportunités de chaque périmètre.

Il faudra déterminer les points de progressions et les actions à mener avec ambitions.

Point sur l’évolution des 12 derniers mois à fin mars 2025 en comparaison à mars 2024 :

  • Essentiel de 4,05/5 à 4,13 (+8 pb) cible 2025 : 4,25/5
  • Premium de 3,82/5 à 3,96 (+14 pb) cible 2025 : 4,25/5
  • Patrimonial de 3,83/5 à 4,02 (+15 pb) cible 2025 : 4,25/5
  • Professionnel de 3,39 à 3,64 (+25 pb) cible 2025 : 4,2 /5

La progression de toutes les courbes est encourageante cependant il faut continuer sur ce rythme pour espérer atteindre l’objectif cible par métier.

RÉSEAU : MISE EN PLACE DU VARIABLE OBJECTIVÉ

Commission EPQS

Consultation sur l’adaptation du dispositif de rémunération variable pour certaines fonctions commerciales du réseau (variable objectivé)

S’il n’y avait eu que nous, ce sujet aurait été traité en négociation, et pas en commission de travail du CSEC, car la rémunération et la rémunération variable est un sujet de négociation.

Cela fait des années que nous demandons l’ouverture d’une négociation sur les critères d’attributions de la rémunération variable, pour obtenir des règles qui protégeraient les salariés et obtenir une transparence demandée par les salariés, demande bien légitime, sur la distribution d’une part variable qui se fait à la tête du client depuis bien trop longtemps.

Nous avions d’ailleurs obtenu l’engagement de Frédéric OUDEA et Caroline GUILLAUMIN. Finalement, quelle valeur a un engagement pris par la direction ? La qualité d’un dialogue social se mesure par les actions.

La direction choisit donc de présenter ici, contrairement à ses engagements, un dispositif, qui est une usine à gaz, sous prétexte de transparence et d’injonctions des régulateurs. Quelles sont ces injonctions ? Aucune info dans le document.

Page 2 du document, la direction a bien pris le soin d’indiquer qu’elle maintient les principes et le caractère discrétionnaire et non contractuel dans une enveloppe budgétaire similaire à iso performance".

Pour la CGT, et d’après les échanges avec les salariés, ce dispositif ne fait que renforcer l'opacité et les discriminations liées à l'exercice d'attribution du variable.

Pire encore, les montants distribués pourraient être moins élevés pour certains (à performances égales et c’est ce que l’expérimentation faite à Chessy a clairement démontré, au-delà du fait qu’ils ont trouvé ce dispositif trop complexe et incompréhensible.

NOTE EMILE NOEBES : SALARIÉS EN DIFFICULTÉ FINANCIERE

Commission EPQS

Pour certains, le Groupe Société Générale est une banque. Pour d’autres, c’est une banque ET un employeur. Historiquement, il existe une instruction qui demande aux responsables du réseau “de ne pas alourdir la situation des salariés en difficultés financières”, au travers notamment de la note Emile Noebes, datant de 2011.  

Nous demandions depuis des mois la bonne application de cette note. 

La direction, pour répondre au sujet sensible de ses salariés en situation de fragilité financière, aura voulu, sans aucune concertation ou co-construction avec les représentants des salariés, décliner sa nouvelle feuille de route sur le sujet, sans reprendre cette spécificité. 

Nous avons refusé de traiter le sujet lors de la commission EPQS d’avril, et avons demandé à la direction de revoir sa copie, car, ce nouveau process aurait laissé ces salariés démunis face à une mécanique administrative complexe et déshumanisée. 

La demande de la CGT était pourtant des plus claires et des plus simples : que la Direction veille à la bonne application de la note Emile NOEBES, datant de 2011, qui prévoit explicitement "de ne pas alourdir la situation financière des salariés en difficulté financière ou de surendettement". Une note qui prend donc véritablement en compte les situations de fragilité financière des salariés SG et qui laisse une marge d’intervention non négligeable au Service Social SG et à la représentation salariale pour intervenir efficacement pour des solutions humaines et pérennes.

Finalement, suite à une réunion de travail entre les représentants syndicaux nationaux et la direction de SGRF portant sur le sujet de la fragilité financière, la direction a communiqué une note revue afin de rappeler aux régions les principes applicables et issus de la note E. NOEBES : 

 « Les notes successives de Xavier JACQUEMAIN (4 février 2000) puis Emile NOEBES (2 décembre 2011) avaient fixé des principes permettant de traiter la situation des collaborateurs clients en situation de difficulté financière.

Répondant à un besoin de protection de la clientèle fragile, un décret 2013-931 a défini de façon très claire la situation de fragilité bancaire et ses conséquences qui s’appliquent à tous les clients et par extension aux clients salariés des Banques, notamment en termes de plafonnement des frais.

Au-delà du respect de ces dispositions réglementaires et indépendamment du dispositif opérationnel mis en place au sein de SGRF permettant d’en respecter l’effectivité, il est réaffirmé que les collaborateurs clients de la Société Générale, ne relevant pas du dispositif réglementaire de fragilité financière mais se trouvant dans une situation de difficulté financière temporaire, doivent pouvoir bénéficier d’une approche responsable de la part des teneurs de compte afin de ne pas alourdir leur situation financière quant aux frais relatifs aux rejets de prélèvement ou de chèque.

Les collaborateurs se trouvant dans une telle situation bénéficient également de la possibilité de s’adresser aux assistantes sociales qui pourront leur apporter soutien et conseil. Enfin, afin de faciliter le contexte professionnel du collaborateur client qui se trouverait en situation de difficulté financière, il est rappelé que celui-ci peut prétendre au transfert de son compte de l’agence où il exerce son métier vers une agence idéalement située en dehors du Groupe d’agence dans lequel il exerce ses fonctions.    »

Nous avons salué cette rédaction qui maintient et fait perdurer le principe de la note Emile NOEBES. Nous avons demandé quelques modifications.  

Nous avons également demandé que cette information soit présentée dans les CSE et communiquée aux responsables du réseau en charge de la gestion des comptes du personnel. 

En conclusion, le principe de ne pas alourdir la situation des salariés en difficulté financière perdure, en complément du dispositif imposé par la réglementation, aux établissements de crédit, permettant de détecter les clients en situation de fragilité financière afin de leur proposer l’offre spécifique de nature à limiter les frais en cas d’incidents et d’irrégularités de fonctionnement du compte.  

CODE SG, MODIFICATION DES RÈGLES D’ENVOI D’INFORMATIONS      PROFESSIONNELLES EN EXTERNE

Commission EPQS

Avant, envoyer certaines informations à caractère professionnel sur des messageries externes pouvait se faire à titre exceptionnel, à condition que le responsable hiérarchique ait donné au préalable son accord, et que celui-ci soit copie de l’envoi.     
Si l’accord formel du manager a été sollicité mais n’a pu être recueilli, l’utilisateur pouvait, en cas d’urgence, envoyer des données à l’extérieur en mettant en copie son manager de son envoi extérieur et lui en indiquer l’objet.
Un process obtenu par la CGT, en 2014, dans le cadre d’un rapport de force avec la direction qui organisait une série d’entretiens disciplinaires pour ce motif.

Face à son refus de discuter à l’époque, les 2 CHSCT des services centraux avaient saisi le juge… ce qui a permis une négociation et un accord qui encadrait l’envoi de mails en externe. 

Ce process est repris dans le code SG, et dorénavant obligatoire pour des éléments classifiés C1-RESTREINT, C2-CONFIDENTIEL et C3-SECRET.

Mais ça c'était avant... 
Dorénavant, seul l'envoi vers des messageries externes d'éléments à caractère professionnel classifiés C1-RESTREINT peut se faire à titre exceptionnel et aux conditions précédentes.     
Mais il est dorénavant strictement interdit d’adresser des informations classifiées C2-CONFIDENTIEL et C3-SECRET sur des messageries et autres supports externes.

La motivation de la direction ? Elle a équipé, de manière généralisée, les salariés de Laptop depuis la crise COVID. 
La CGT a pointé l'existence d'un sous-libellé au C2-CONFIDENTIEL qui établit que certains C2 sont diffusables en externe (l’un est le C2 – Diffusable à l’extérieur du groupe et l’autre est le C2 – Non diffusable à l’extérieur du groupe).
La direction nous a indiqué d’une part, que ce sous-libellé doit être compris comme une classification pouvant être diffusée en externe mais strictement aux personnes légitimes à pouvoir les recevoir en renvoyant les salariés demandeurs d'explications plus précises à la lecture fastidieuse de l'intranet dédié à ces sujets. Et d’autre part, que la mise à jour proposée du Code SG ne prévoyait pas de clarifier cette règle.

La CGT s’interroge sur la position de la direction, qui sous couvert de préserver les intérêts du Groupe, omet de préserver les droits des salariés en faisant preuve de plus de transparence et leur permettre de prendre des décisions éclairées.
Par ailleurs, la CGT a rappelé à la direction qu'un salarié recevant un élément classifié avait la possibilité de changer une classification initiale qui apparaitrait comme erronée ou abusive. 

La direction a répondu que l’expéditeur est le seul propriétaire de la classification de son courriel. Que si l'expéditeur refusait de la changer, le destinataire n’aurait pas le droit de changer la classification de cet envoi
La CGT s’est étonnée là aussi de la position de la direction qui, en cas de désaccord, semble prendre le parti du seul expéditeur comme décideur de la bonne classification et ce, semble-t-il, même si l'expéditeur ne respectait pas les règles de classification établies en la matière.
Enfin, nous avons listé des zones grises dans l'intranet dédié à ces sujets : un manque de clarté sur les niveaux d'impact concernés, une liste incomplète d'exemples pour certains imprécis. Compte tenu de ce qui précède, nous ne pouvons qu'inviter l'ensemble des collègues à faire preuve de la plus grande prudence et vigilance sur ce sujet. 

Le passé a déjà démontré que le Groupe SG dans une démarche de protection de ses données aura largement et souvent durement sanctionné les salariés sur cette thématique et ce quelques soient les impératifs professionnels ou la bonne foi qui auraient initié ces envois.

SERVICE SOCIAL DU TRAVAIL SG : POINT D'ÉTAPE 

Commission EPQS

La CGT avait demandé un point à date sur le Service Social du Travail (SST) afin d’avoir une photographie des effectifs et des périmètres par régions.

Cette présentation a mis en lumière des disparités dans la gestion du service social à travers différentes régions. La direction affiche un suivi, théorique, par Assistant Social (AS), de 800 à 1000 salariés pour le réseau. 

Sauf que dans les faits, ce n’est pas le cas. Dans plusieurs régions, une absence temporaire, un départ en retraite ou une mobilité génèrent une charge supplémentaire, si la personne n’est pas remplacée et cela fait exploser le nombre de salariés suivis par chaque AS, ce que nous avons constaté notamment pour plusieurs régions (DRIF Nord, SG Courtois, AURA, SMC..). 

Pour SG SMC, la direction a déclaré en réunion que « le recrutement est finalisé et qu’une AS doit arriver en juillet ».

Concernant SG Courtois, Sandrine VOUIN, DRH adjointe de SGRF, a affirmé que “localement il est regardé comment remplacer temporairement jusqu’au retour de l’AS, soit par un renfort, soit par un service externalisé”.  

Sur la DRIF Nord “temporairement, on reste à 3, mais on va reposer la question du remplacement de la 4ème AS”.

Pour SG CDN, elle ajoute « qu’il y a un CDD présent en remplacement de l’AS en CDI ». Quant à AURA, où il y a deux absences, elle convient que c’est problématique « on a pris un service externalisé qui fournit des heures, ce n’est pas facile de trouver des cabinets qui sont bien ».

Elle ajoute qu’il y a également de la solidarité entre régions, avec des AS qui viennent « donner un coup de main » aux régions en sous-effectif. Sauf que ces AS ont elles-mêmes un nombre déjà important de salariés à suivre.

Pour les Services Centraux Parisiens, nous avons à nouveau abordé la question d’un grand nombre de salariés suivis (entre 3500 et 4000 par AS ou Conseillère du Travail), ce qui est très élevé, soulignant les disparités et les défis associés.

La direction nous a expliqué que l'utilisation d'outils aidant comme Teams a permis de conserver le contact avec les salariés, pendant la période COVID, facilitant ainsi dorénavant la gestion de la charge de travail, précisant que les régions en faisaient de même.

La CGT a tenu à rappeler son attachement au Service Social interne et au fait que chaque poste doit être pourvu ou remplacé si absence.

Nous faisons le constat que SST est un acteur important dans l’accompagnement social des salariés (tout comme les représentants du personnel) qui subissent de plein fouet la transformation de l’entreprise.

Les AS interviennent également sur divers domaines de difficultés sociales, incluant les problèmes financiers, les difficultés liées à la maladie, aux problématiques de logement, et parfois de situations de violence intrafamiliale.

Il est nécessaire d’améliorer la communication et la visibilité du Service Social notamment avec les nouveaux embauchés et les ex-salariés du Crédit du Nord qui n’avaient pas de SST interne.

Pour mémoire, la direction avait réalisé une expérimentation d’externalisation sur la région de Marseille il y a quelques années et avait fait marche arrière, décision que nous avons saluée, après avoir combattu l’expérimentation.

Nous sommes revenus également sur l’indépendance indispensable du SST. En effet, le rattachement des AS à la DRH en région n’est pas logique, et nous regrettons la décision de la direction d’avoir supprimé la Conseillère Chef du Travail qui avait le mérite de faire exister une filière métier et de protéger l’indépendance du SST. 

POINT D’INFORMATION SUR LES COMPORTEMENTS INAPPROPRIÉS  2024

Commission SSCT

Le rapport de 2024 sur les comportements inappropriés au sein de la Société Générale (SG) a été présenté par Stéphanie BARANGER (HRCO/SSA/PPS), Catherine LA NOE-GIRARD (BDDF/HUM/RST) et le Docteur PASQUIER, médecin coordinateur SG. Cette année, 179 alertes ont été recensées sur le périmètre SGPM, dont 115 (64%) hors outil Whistleblowing et 64 (36%) via l’outil Groupe. Les chiffres sont désormais analysés sur un périmètre plus restreint, ce qui pourrait influencer les résultats.

La répartition des alertes par pilier révèle que le RPBI constitue la majorité avec 133 alertes (74%), suivi des Centraux avec 25 alertes (14%) et du GBIS avec 19 alertes (11%). Aucune alerte n’a été signalée pour MIBS et deux alertes anonymes ont été enregistrées. En ce qui concerne la nature des allégations, le harcèlement moral arrive en tête avec 94 dossiers (53%), bien que ce chiffre ait diminué par rapport à 2023. D'autres comportements notables incluent le harcèlement sexuel (21 alertes), les agissements sexistes (15 alertes) et la violence verbale (20 alertes).

La CGT a interrogé la direction sur la baisse des licenciements liés à des comportements inappropriés. La Direction a confirmé que cette tendance ne reflète pas une diminution de la gravité des faits, mais pourrait être due à un effet statistique. Elle insiste sur sa vigilance dans la gestion des allégations et souligne l’importance d’une culture du dialogue, visant à prévenir l’escalade des conflits.

Au niveau du suivi des dossiers de comportements inappropriés, au 28 mars 2025, 74 dossiers recevables avaient été finalisés, avec 58 sanctions au total, dont 19 licenciements, 15 blâmes et 24 avertissements. La Direction a également reconnu le besoin d'améliorer la transparence concernant la gestion interne et externe des dossiers, stipulant que chaque cas est traité individuellement sans suivi statistique précis pour les méthodes de gestion.

La CGT a également demandé que les Instances Représentatives du Personnel (IRP) soient impliquées dans les ateliers relatifs au plan d’action. La Direction a déclaré qu'elle n'organisait pas ces ateliers directement, mais qu'elle reconnaissait l'importance de leur participation pour enrichir les discussions avec une perspective opérationnelle.

La Direction a précisé que les deux alertes anonymes étaient issues de l'outil WhistleBlowing, où les auteurs n’étaient pas identifiables. De plus, un changement de terminologie a été observé, remplaçant "faits révélés" par "incidents", ce qui suscite des inquiétudes quant à la gravité perçue des comportements signalés. La Direction défend cette évolution comme un moyen de souligner la nécessité d’une action face à des problèmes identifiés.

Enfin, la CGT a noté une augmentation des tensions et des comportements inappropriés, potentiellement liée aux risques psychosociaux (RPS) exacerbés par des objectifs commerciaux accrus et une pression de travail croissante. La Direction a assuré qu’elle restait vigilante et a mis en place des sessions de formation pour sensibiliser les employés aux comportements toxiques et promouvoir une culture de bienveillance. Des initiatives comme des ateliers de sensibilisation sont prévues pour la Semaine de la Qualité de Vie et des Conditions de Travail, renforçant l'engagement de la SG envers un environnement de travail sain et respectueux.

1%

Commission Vacances Familles et Enfants

Les commissions ont validé, à l’unanimité, une hausse des tarifs de 1%. L’indice de référence pour les augmentations est l’Indice des Prix à la Consommation, mesuré à +0,8% sur un an (source INSEE à fin avril 25).

A titre d’exemple pour les Vacances Familles, l’impact maximal serait de 8 EUR sur les dossiers rouges en tarif D et S, 7 EUR sur les dossiers rouges en tarif C. Pour information, les augmentations tarifaires moyennes de nos prestataires de centres de vacances sont de +3,47 % sur 2025 et + 2,31% sur 2026.

Elle sera appliquée à compter de l’hiver 2026 pour les catalogues Vacances Familles et Enfants.

BUDGET VACANCES FAMILLES

Commission Vacances Familles

Au total, 9 000 000EUR sont spécifiquement alloués, pour les linéaires (Sandaya, Sunêlia, Huttopia,…) à vos vacances hiver, printemps, été et automne avec le CSEC, répartis globalement par 60% à la charge du CSEC, 40% par la participation des salariés.

STATISTIQUES ÉTÉ

Commission Vacances Familles

Au 23/05/2025

Au 27/05/2024

Nombre de dossiers traités

5572

5789

Nombre de dossiers affectés

4780

4812

Nombre de participants

18706

18866

Dont adultes

10485

10502

Dont enfants

8221

8364

Nombre d'hébergements

1324

1263

Nombre de dossiers refusés

543

791

Nombre de dossiers annulés

249

186

Nombre de dossiers traités au tarif mini

46

60

Nombre de dossiers traités dans le cadre de la lutte contre l’exclusion interne

6

7

PROCHAINES NOUVEAUTÉS

Commission Vacances Familles

Hiver :

Résidence Odalys Mille Soleils, Font Romeu 

Eté :

  • Camping Sandaya Pléneuf Val André 
  • Résidence La Grenadine Lagrange Marseillan Plage 

NON RENOUVELLEMENT POTENTIEL DE CENTRES POUR L’ÉTÉ 26

Commission Vacances Familles

Mers les Bains, Ammerschwihr, Frehel, Loudenvielle, Maupertus sur mer, Bussang, Urrugne, Evian, Gréoux les Bains. En réflexion pour les centres de Corde sur Ciel et Entraygues.

TOURISME SOCIAL

Commission Vacances Familles

TARIF MINIMUM : 46 dossiers ont bénéficié du tarif minimum du CSEC à l’ouverture de cette session.

LUTTE CONTRE L’EXCLUSION INTERNE : 6 dossiers traités permettant une aide aux départs en vacances

En cas de difficultés contactez votre CSE local ou votre assistante sociale afin d’établir un dossier d’aide sociale, disponible sur le site www.csec-sg.net

TRANSPORTS CORSE

Commission Vacances Familles

Suite à plusieurs annulations de dossiers à destination de la Corse, justifiées par le coût des transports (bateaux, avions et location de véhicule), nous vous conseillons d’anticiper en réservant, avec option annulation, dès la saisie de votre choix (en janvier).

Les tarifs et disponibilités évoluant, généralement, en défaveur du consommateur.

Le préjudice financier pour le CSEC est significatif à la suite de ces annulations tardives.

COLONIES ÉTÉ 2025

Commission Vacances Enfants

Rappel des dates des colonies été 2025 :

  • Du 16 au 29 juillet 2025
  • Du 06 au 19 août 2025

Les points de rassemblement pour les convoyages auront lieu les 16, 23 et 29 juillet et les 06, 13 et 19 août 2025 à l’Hippodrome d’Enghien (95), à la Gare de Lyon (Paris) et Lyon (69).

COLONIES HIVER PRINTEMPS 2026

Commission Vacances Enfants

Ce sont 33 séjours de sélection ce qui représente environ 1880 enfants sur les deux périodes pour un budget de 1 437 736 €.

Nouveautés Hiver / Printemps 2026 :

  • Hiver 2026 :

 Every Glisse 6-7 ans

Aventure Nordique 8-10 ans

Tout Schuss 11-12 ans

Ski ESF 11-12 ans

  • Printemps 2026 :

 Les petits acrobates 6-7 ans

Escapades dans le Var 8-10 ans

La colo Jurassic 8-10 ans

Futurland 8-10 ans

C'est dans ta nature - Défi Planéte 11-12 ans

Aventurier du bord de mer 11-12 ans

Zoo de Beauval et Futuroscope 11-12 ans

Edimbourg Ecosse 13-14 ans

Let's got Galway Irlande 15-17 ans

Informations supplémentaires

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Lu 1505 fois Dernière modification le vendredi, 13 juin 2025 12:46

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